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La charge mentale : ce poids que personne ne voit, mais que tant de femmes portent

Il n’y a pas de bruit.

Pas d’agitation apparente.

Juste une femme, debout dans sa cuisine ou assise sur son canapé, qui pense.

Elle pense au rendez-vous chez le pédiatre à ne pas oublier.

Au repas à préparer pour demain.

Aux chaussettes à racheter, à l’anniversaire à organiser, aux factures à payer, aux émotions de son enfant qu’elle sent fragiles.

Elle pense... Tout le temps... Pour tout le monde.


C’est ça, la charge mentale.

Ce n’est pas une tâche.

C’est le fil invisible qui relie toutes les tâches.


C’est cette vigilance constante, cette anticipation permanente, cette gestion silencieuse qui ne dort jamais vraiment.

Et souvent, cela ne se voit pas.

On pense qu’elle gère bien.

Qu’elle est forte.

Organisée.

Multitâche.

Mais à l’intérieur, elle s’effondre à petits feux.


Ce n’est pas une question de compétence, c’est une question d’usure.

La charge mentale use. Elle étouffe. Elle fait disparaître.

Et parfois, elle mène au burnout parental, ce point de rupture où le corps dit stop, où l’esprit vacille, où la joie s’éteint.

Il est temps de la nommer.

De la reconnaître.

De dire : je ne veux plus porter seule ce que nous devrions partager.

Ce n’est pas un caprice.

Ce n’est pas un échec.

C’est un acte de lucidité et de survie.


Offrir à son esprit le droit de souffler.

Aujourd’hui, si tu lis ces lignes en pleine tempête intérieure, sache que tu n’es pas seule.

Tu as le droit de poser ce poids.

De demander de l’aide.

De ralentir.

Parfois, cela commence par un geste tout simple.

Un bain chaud, des bougies, un verre de vin or une tisane.

Un moment cocooning rien que pour toi.

Pour s'ancrer, pour se rappeler de sa propre existence et valeur personnelle.

Que tu existe en tant que toi.


  • Vêtement du jour:

Un pyjama minimaliste et chic, doux sur la peau, fluide sur le corps.

Un vêtement qui ne juge pas. Qui ne demande rien. Qui invite au repos, au recentrage, au retour à soi.

Et peut-être, te plonger dans un livre qui parle de toi.

Pas celle que tu montres, mais celle que tu caches.


  • Livre du jour : L’Épuisement parental – Comprendre, prévenir et retrouver l’équilibre

  • Un guide profondément humain pour reconnaître les signes d’alerte, libérer la parole, et retrouver une place juste — pour toi, pas seulement pour les autres.

Parce que s’alléger n’est pas fuir.

C’est reprendre son souffle pour mieux rester debout.


 
 
 

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